‘127 hours’ : y a comme un malaise

Les premières projections du nouveau Danny Boyle ont provoqué des réactions… intenses.

Présent au festival américain de Telluride, le 127 HOURS de Danny Boyle a eu un impact certain sur les spectateurs ayant assisté aux deux projections. En effet, selon le site IndieWire, présent sur place, deux personnes auraient eu des malaises à la vue du film, dans lequel James Franco campe Aron Ralston, un jeune alpiniste coincé dans la montagne après un éboulement et obligé de se couper le bras pour survivre. Une histoire vraie survenue en 2003. A l’époque, Ralston avait mis près de 45 minutes pour briser ses os, trancher la chair, puis les tendons. « Cela ne durera pas aussi longtemps dans le film » assurait Danny Boyle voilà quelques mois dans le magazine Empire.

Mais visiblement, même écourtée, l’expérience fut suffisamment extrême pour deux spectateurs. Michelle Hooper, une responsable de Fox Searchlight, studio producteur du film, rapporte ainsi qu’« un vieil homme s’est senti mal à la première projection, et a dû être évacué par les secours. A la seconde projection, une femme d’une vingtaine d’années a eu une attaque de panique et a dû elle aussi être sortie de la salle par les médecins ».

Pour rappel, voici la bande-annonce, révélée voilà deux semaines, et qui, même si nous attendons de voir le film avec une grande impatience, ne nous avait pas convaincu plus que cela. La sortie du film est prévue pour le 23 février prochain.