Roman Coppola et Wes Anderson coréalisent une pub pour Stella Artois

13-10-2010 - 08:25 - Par

Roman coppola wes anderson stella artois

Ils sont copains comme cochons et coréalisent ce spot pour un résultat typiquement… typiquement eux.


Roman Coppola, plus connu pour être l’homme de l’ombre de Francis (papa) et Sofia (soeurette), est aussi le réalisateur deuxième équipe de plusieurs films de Wes Anderson (DARJEELING LIMITED, LA VIE AQUATIQUE), son producteur ou son scénariste parfois, son acteur à l’occasion (FANTASTIC MR FOX) et surtout, son grand copain.
Pas étonnant donc que, lorsque les deux collaborent sur un spot publicitaire pour la fameuse bière belge Stella Artois, le résultat soit un savant mélange des styles d’Anderson et de la fratrie Coppola. Graphique, coloré, statique, rétro, posé et dialogué dans un français so chic.

C’est la deuxième incartade publicitaire pour Roman Coppola en quelques semaines. Il y a peu, était diffusée également sa récente réalisation (seul, cette fois) d’un spot pour l’application iPad du New Yorker, où il y dirigeait son autre grand copain, Jason Schwartzman. Retrouvez-la en bas de post.



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3 commentaires sur “Roman Coppola et Wes Anderson coréalisent une pub pour Stella Artois”

  1. Cam dit :

    Hello
    Concernant le lien entre Roman Coppola et Jason Schwartzman, je dirais même plus que copains puisqu’ils sont cousins.
    Bref, on s’en fout :)
    Ce petit mot pour vous dire que je n’arrive pas à voir la deuxième pub (on s’en fout un peu aussi) et surtout qu’aujourd’hui c’est Social Network !!
    Bonne journée les teasers.

  2. Cinemateaser dit :

    La deuxième pub est en effet un peu longue à charger… Le player (fourni par le New Yorker) n’est pas propice à l’export.

    Et oui, oui, c’est vrai Schwartzman et Coppola sont tout à fait cousins. Our mistake.

  3. houdinis dit :

    le petit morceau de bravoure du duo fait largement penser au film the Party mais également à une scène du film de Peyton Reed, Bye Bye Love (ou Down with love en VO) ou dans un appartement 60’s, une accumulation de mauvaises manip’ sur un tableau de bord identique, entraine une séquence quasi semblable… Un film d’ailleurs assez jouissif contre toute attente.