Les auteurs de Zombieland s’occupent d’un Cowboy Ninja Viking

Les très doués et demandés Rhett Reese et Paul Wernick ont été engagés par Disney pour adapter la BD « Cowboy Ninja Viking », au pitch totalement baisé.

Créé à l’automne 2009, le comic « Cowboy Ninja Viking » du scénariste A.J. Lieberman (« Batman : Gotham Knights », « Batman : Hush Returns », « Batman : War Games ») et de l’illustrateur Riley Rossmo (« Proof », « Silent Hill »), suscite l’intérêt d’Hollywood. Au point que les studios Disney en ont acquis les droits d’adaptation cinéma, avec à la production Mark Gordon (les séries ESPRITS CRIMINELS et GREY’S ANATOMY). Pour pondre le script, la major a décidé d’embaucher Rhett Reese et Paul Wernick, connus pour leur merveilleux travail sur BIENVENUE A ZOMBIELAND. Des auteurs particulièrement demandés, et qui ont depuis livré des scripts visiblement très appréciés pour DEADPOOL et GI JOE 2.

Si nous n’avons pas eu l’occasion de lire la BD de Lieberman et Rossmo, nous n’en restons pas moins très curieux, voire franchement impatients de découvrir le film, qui ne dispose pas encore de réalisateur ou de planning de production. « Cowboy Ninja Viking » affiche en effet un univers particulièrement alléchant et décalé, comme le prouve le pitch officiel livré par la firme Image Comics, qui le publie aux Etats-Unis. « Cowboy Ninja Viking est la création du docteur Sebastian Ghislain, un psychothérapeute qui recrute des malades souffrant d’un syndrome de dédoublement de la personnalité pour créer une unité d’agents secrets nommés les « Triplets ». Mais que se passe-t-il quand ces agents deviennent des assassins incontrôlables ? Et surtout, quand le plus dangereux d’entre eux, COWBOY NINJA VIKING, tente de se venger de ceux qui l’ont créé ? »

Vous l’aurez compris, le héros de COWBOY NINJA VIKING sera un malade mental, programmé pour devenir une machine à tuer, ayant le courage d’un cowboy, les talents de meurtrier d’un ninja, et la destructrice rage d’un viking. Bref, un pitch hors normes, qui, s’il est scénarisé avec autant de verve et d’ironie que ZOMBIELAND, pourrait donner lieu à un long métrage fondamentalement à part.

Ci-dessous, quelques couvertures de la BD :