Anne Hathaway parle du biopic de Judy Garland

22-12-2010 - 09:45 - Par

Attachée au projet depuis plus d’un an, l’actrice – nommée au Golden Globes – explique le retard certain avec lequel le biopic de Garland se développe.


C’est aux frères Weinstein que l’on doit la production de l’imminent film biographique sur Judy Garland, enfant-star des planches, vedette du MAGICIEN D’OZ, épouse de Vincente Minelli, mère de Lisa Minelli, dépressive chronique, portée sur la bouteille et les médicaments et décédée à l’âge précoce de 47 ans. Le film, déjà oscarisable vu le sujet, est tiré du livre de Gerald Clarke publié en 2001, « Get Happy : The Life of Judy Garland ».

Rapidement, Anne Hathaway s’engagea dans le rôle-titre, dès 2009, mais le film n’avait pas l’air de vouloir se faire puisqu’aucune nouvelle n’était vraiment donnée depuis lors.
Or voilà que la star, invitée à BBC Radio Four, vient d’updater l’avancée de la production, promettant que le film verrait le jour dans les deux ans à venir : « C’est un sujet sensible et beaucoup d’histoires ont déjà été racontées sur sa vie. Si bien que nous essayons d’avoir un bon point de vue. Alors nous prenons notre temps. Je sais qu’on a l’impression que ça prend une éternité, mais les marches sont difficiles à gravir. Je me suis rendue à une réunion pour le film il y a trois semaines et nous sommes tous vraiment motivés ».
Quant à savoir si Anne Hathaway prendra deux ou trois cours de chant pour avoir le brin de voix de la Garland, il semble y avoir encore un sacré dilemme : « Je chante assurément pas comme Judy Garland. Or de ce qui s’est dit pour le moment, je devrais chanter. Mais bien des spectateurs vont crier au meurtre s’ils n’entendent pas le grain divin de Judy, alors je ne suis pas sûre d’avoir à donner de la voix au final ».

Pour info, vous pourrez voir Anne Hathaway aux côtés de Jake Gyllenhaal dans LOVE ET AUTRES DROGUES le 29 décembre prochain au cinéma. Pour ce rôle, Anne Hathaway a reçu une nomination aux Golden Globes. Elle présentera également les Oscar avec James Franco, le 27 février 2011.

Source : Collider

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