Pete Doherty au cinéma : teaser et photos

24-03-2011 - 11:11 - Par

Dans le nouveau film de Sylvie Verheyde, il y a Charlotte Gainsbourg et Pete Doherty. TousCoprod.com vous propose d’investir dans ce long-métrage pour qu’il puisse être terminé.


Grâce à un mail provenant de TousCoprod.com, nous pouvons vous faire part des premières images de Pete Doherty au cinéma.

Voici ce que le site a à dire de CONFESSION D’UN ENFANT DU SIÈCLE, dans lequel il apparaît, et qui est signé de Sylvie Verheyde, déjà aux commandes d’UN FRÈRE :
« Pour son nouveau long-métrage, Sylvie Verheyde (UN FRERE, STELLA) réunit les talents: Charlotte Gainsbourg (ANTICHRIST, PRETE-MOI TA MAIN, LA SCIENCE DES REVES) partage l’affiche de CONFESSION D’UN ENFANT DU SIÈCLE avec Peter Doherty. L’enfant terrible du rock fait ses débuts de comédien dans cette adaptation d’Alfred de Musset, aux côtés également d’August Diehl (INGLORIOUS BASTERDS, LES FAUSSAIRES). Rejoignez l’aventure d’un des évènements cinématographiques de 2011 en soutenant ce projet qui a besoin de 25 à 60 000 euros pour compléter son budget de production. N’hésitez plus et devenez coprod de ce projet unique et très attendu.»

Le pitch officiel : « Nous sommes au lendemain des guerres napoléoniennes. Octave est jeune et beau et il aime sa maîtresse, Elise ; jusqu’à ce qu’il soit le témoin involontaire de sa trahison. Au désespoir premier succède la débauche. Entrainé par son ami Desgenais, Octave devient un parfait libertin, sans que cette nouvelle vie ne parvienne à satisfaire sa soif d’absolu.
La mort de son père amène Octave à la campagne où il ne tarde pas à rencontrer Brigitte Pierson, une jeune veuve, de dix ans son aînée, qui occupe une large partie de son temps à soulager le malheur des petites gens. Pour Octave, c’est à nouveau l’amour, la passion, auxquels Brigitte tente d’abord d’échapper, ne voulant pas revivre les tortures qu’elle a déjà connues, avant de céder, et de s’y abandonner à nouveau. Octave et Brigitte s’aiment.
Très vite, au détour d’un petit mensonge anodin, Octave se trouve rattrapé par le soupçon que cette femme, comme l’autre, comme toutes les autres peut-être, pourrait lui mentir, l’asservir, le trahir. Le soupçon que ce sentiment pur et entier dont Octave pressent qu’il serait le seul à pouvoir le sauver de l’ennui et du désespoir que distille « le siècle » est une chimère, le soupçon que Desgenais pourrait avoir raison qui clame que l’amour n’existe pas. »



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