Catherine Zeta-Jones rejoint ROCK OF AGES

21-04-2011 - 10:23 - Par

La comédienne, qui se faisait rare sur les écrans, jouera à la méchante conservatrice dans le musical d’Adam Shankman.

La semaine passée, on apprenait que Catherine Zeta-Jones avait passé quelques jours en maison de repos après qu’elle a révélé être bipolaire (le mot 2.0 pour maniaco-dépressive). Mais la comédienne, qui ces dernières années a été rarement vue sur les écrans (son dernier film, MON BABYSITTER, est sorti en catimini en novembre dernier chez nous), rebondit. En effet le réalisateur Adam Shankman a révélé au Hollywood Reporter qu’elle camperait la méchante dans ROCK OF AGES, son film adapté du musical de Broadway, pour lequel ont déjà signé Tom Cruise ou Alec Baldwin.

Le rôle de Zeta-Jones a été spécialement créé pour le film et selon Shankman, ce personnage est « hardcore, amorale, conservatrice et veut signer l’arrêt de mort du rock’n roll à Los Angeles ». Sarah Palin, sort de ce corps. Le cinéaste s’est ensuite extasié de l’engagement de Catherine Zeta-Jones, connue pour ses talents de chanteuse et danseuse depuis CHICAGO, qui lui avait valu un Oscar en 2003 : « C’est comme si les Dieux du music-hall nous avait bénis ! » a-t-il lancé. Rien que ça.

Si Zeta-Jones n’a pas toujours brillé au cours de sa carrière, notamment en signant pour des romcom indignes (LE GOÛT DE LA VIE, entre autres) nous sommes toutefois heureux de la voir revenir au devant de la scène, l’actrice ayant un charisme assuré et une personnalité seyant parfaitement à un projet comme ROCK OF AGES. Et puis la voir opposée à un casting fait de Tom Cruise, Alec Baldwin, Mary J. Blige ou Paul Giamatti pourrait faire des étincelles. Pour rappel, ROCK OF AGES suivra une jeune fille du Midwest s’installant à Los Angeles et y tombe amoureuse d’un apprenti rock star, avant de se voir forcée de devenir stripteaseuse. La bande son comprendra des standards du rock FM des années 80, dont ceux de Bon Jovi. Oui, on sait, ça sent le projet baisé à plein nez. Ce qui n’est pas pour nous déplaire : ce sera toujours moins plan plan que NINE.

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