Paul Greengrass attaché à THE FEAR INDEX, adaptation d’un roman de Robert Harris

26-08-2011 - 12:14 - Par

Le réalisateur qui a révolutionné la façon de filmer l’action dans les années 2000 accumule les projets sans toutefois entrer en tournage. C’est quand la bonne ?

Paul Greengrass accumule les projets espérant que l’un d’eux le ramènerait sur un plateau de cinéma. Cette fois, on parle de THE FEAR INDEX. C’est le romancier Robert Harris, auteur du roman « The Fear Index » à paraître début 2012 (et aussi responsable de « Ghost Writer », source du film éponyme de Polanski) qui en a parlé avec The Telegraph (via The Playlist) et qui a dévoilé que Greengrass s’intéressait à une potentielle adaptation. Une information ensuite confirmée par les représentants de Greengrass à The Playlist. Robert Harris dit s’occuper lui-même du scénario.

THE FEAR INDEX met en scène « un génie, le Dr Alex Hoffman, qui a créé un ordinateur prédisant sans faille les sautes d’humour des populations. Il use de cette machine pour fonder avec un banquier un fond de placement qui lui rapporte des millions. Mais sa vie va basculer quand un intrus s’introduit chez lui et que commence un cauchemar éveillé fait de violence et de paranoïa. Qui cherche à le détruire ? » Voilà qui nous intrigue grandement. Maintenant, il n’y a plus qu’à croiser les doigts pour que Greengrass voie enfin un de ses projets aboutir…

En effet, Paul Greengrass subit déconvenues sur déconvenues. Après l’échec de GREEN ZONE, il a été attaché à divers projets comme le remake du VOYAGE FANTASTIQUE ou RUSH, qui sont au final allés à d’autres réalisateurs (Shawn Levy et Ron Howard). Puis il voulait tourner un biopic de Martin Luther King avec MEMPHIS, mais a vu Universal mettre la chose au placard en raison d’un souci de droits et d’un projet concurrent chez DreamWorks. Greengrass assure toutefois qu’il cherche toujours à lancer MEMPHIS avec une autre major. Puis récemment, il s’engageait pour MAERSK ALABAMA avec Tom Hanks, dont on n’a pas de nouvelles puisque la star va tourner à l’automne CLOUD ATLAS. Sans compter THE DEEP BLUE GOOD-BY, qui ne semble pas avancer des masses. Ça commence à faire beaucoup…

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