Hugh Grant dans CLOUD ATLAS des Wachowski

13-09-2011 - 15:07 - Par

On présente nos plates excuses à Tom Tykwer pour l’avoir squeezé du titre de ce post. Mais réjouissons-nous de l’arrivée au casting de l’excellent comédien anglais.

Redéclarons notre amour à Hugh Grant. Certes, le bonhomme aligne trop souvent les romcom de mauvaise qualité (citons pêle-mêle, ces dix dernières années L’AMOUR SANS PRÉAVIS et OÙ SONT PASSÉS LES MORGAN ?), mais même dans les productions les plus médiocres, on se délecte toujours de son petit air de bourgeois pincé / grivois. Oui, donc, on aime énormément Hugh Grant. Mais forcément, même si on l’aime le voir en short rose se prendre pour George Michael dans LE COME-BACK, ou en premier ministre dans LOVE ACTUALLY, on adorerait qu’il fasse des choix plus variés pour sa carrière, donnant toute la mesure de son talent.

C’est chose faite ! L’acteur, qui tourne finalement assez peu, a décidé de signer pour CLOUD ATLAS, film très intrigant de la fratrie Wachowski et de Tom Tykwer. Pour cette adaptation du roman « Cartographie des Nuages » de David Mitchell, les Wacho et Tykwer co-réaliseront, mais disposeront chacun d’une équipe de production différente. Si l’on ne sait pas encore quel rôle tiendra Hugh Grant, on peut sans trop se mouiller affirmer qu’il sera multiple, puisque tous les membres de la distrib’ camperont entre trois et six personnages chacun. Une distribution qui comprend rappelons-le Tom Hanks, Jim Sturgess, Halle Berry, Hugo Weaving, Susan Sarandon, Ben Whishaw et Jim Broadbent au casting.

Début des prises de vues dans quelques jours aux studios de Babelsberg à Berlin. Pour mémoire, voici de nouveau le très psychédélique pitch du bouquin : « Adam Ewing est un homme de loi américain, embarqué à bord d’une goélette partie de Nouvelle-Zélande et faisant route vers San Francisco, sa ville natale. Il n’a rien à voir avec Robert Frobisher, lequel, un siècle plus tard, se met au service d’un compositeur génial pour échapper à ses créanciers. Ni l’un ni l’autre ne peuvent connaître Luisa Rey, une journaliste d’investigation sur la piste d’un complot nucléaire, dans la Californie des années 70. Ou Sonmi 451, un clone condamné à mort par un Etat du futur. Pourtant, si l’espace et le temps les séparent, tous ces êtres participent d’un destin commun, dont la signification se révèle peu à peu. Chaque vie est l’écho d’une autre et revient sans cesse, telle une phrase musicale qui se répéterait au fil d’innombrables variations. »

Source : Screen Daily

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