Quatre nouvelles photos pour DE ROUILLE ET D’OS de Jacques Audiard

14-04-2012 - 16:16 - Par

On avoue être remontés à bloc pour le 17 mai, date de sortie et de la possible présentation cannoise du nouvel opus du père d’UN PROPHÈTE.

Cette semaine aura été placée sous le signe DE ROUILLE ET D’OS : entre deux posts sur THE DARK KNIGHT RISES et AVENGERS, le nouveau Jacques Audiard aura trusté nos pages via un premier teaser ultra prometteur et une affiche assez confondante de beauté. Aujourd’hui, on remet ça avec une galerie de quatre photos inédites, qui nous en montrent un peu plus de la chose. Notamment, nous sommes restés en pâmoison devant l’une d’elles, présentant le gigantesque (dans tous les sens du terme) Matthias Schoenaerts dans un combat de rue dantesque. Un acteur vite entré dans notre liste des espoirs à suivre de très près avec BULLHEAD. Avec la vitrine cannoise dont va probablement bénéficier DE ROUILLE ET D’OS dans un mois, on se dit que le Belge ne devrait plus trop longtemps rester inconnu des producteurs américains. Enfin, ceux qui n’auraient pas eu l’obligeance de mater BULLHEAD, nommé aux Oscars dans la catégorie meilleur film étranger voilà deux mois.

Si vous ne connaissez toujours pas de quoi parle DE ROUILLE ET D’OS en dépit de nos multiples post en la matière, revoici le résumé : « Ça commence dans le Nord. Ali se retrouve avec Sam, 5 ans, sur les bras. C’est son fils, il le connaît à peine. Sans domicile, sans argent et sans amis, Ali trouve refuge chez sa sœur à Antibes. Là-bas, c’est tout de suite mieux, elle les héberge dans le garage de son pavillon, elle s’occupe du petit et il fait beau. A la suite d’une bagarre dans une boîte de nuit, son destin croise celui de Stéphanie. Il la ramène chez elle et lui laisse son téléphone. Il est pauvre ; elle est belle et pleine d’assurance. C’est une princesse. Tout les oppose. Stéphanie est dresseuse d’orques au Marineland. Il faudra que le spectacle tourne au drame pour qu’un coup de téléphone dans la nuit les réunisse à nouveau Quand Ali la retrouve, la princesse est tassée dans un fauteuil roulant : elle a perdu ses jambes et pas mal d’illusions. Il va l’aider simplement, sans compassion, sans pitié. Elle va revivre. » Rappelons également que le film s’inspire d’une nouvelle issue d’un recueil signé du Canadien Craig Davidson. Désormais, nous n’avons qu’un espoir : que le film soit à la hauteur de notre attente, et que Jacques Audiard pourra livrer ici un opus conforme à ses intentions, en dépit d’une date de sortie avancée de cinq mois ayant précipité le montage…

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