Justin Kurzel, réal’ des CRIMES DE SNOWTOWN, adapte John Le Carré

05-05-2012 - 10:52 - Par

Après LA TAUPE, un des meilleurs films de l’année 2012 jusqu’à présent, le romancier anglais continue d’attirer le cinéma.

Cette année, Tomas Alfredson nous a livré un des meilleurs films de l’année avec LA TAUPE, adapté du roman éponyme de John Le Carré. On espère toujours que l’équipe puisse adapter la suite de la Trilogie Karla dont « La Taupe » est le premier tome, avec les deux épisodes suivants, « Comme un collégien » et « Les gens de Smiley ». Sauf que les plans laissent penser qu’un seul film devrait voir le jour, centré principalement sur « Les gens de Smiley ». Mais pour le moment, tout ceci n’est que conjecture, et nous n’avons aucune nouvelle du projet.

Alors en attendant, on va s’enthousiasmer pour un autre projet d’adaptation d’un roman de John Le Carré, « Un traître à notre goût » (« Our kind of traitor » en VO), publié en 2011. Variety (via The Playlist) révèle que OUR KIND OF TRAITOR sera écrit par Hossein Amini (scénariste de DRIVE et du très attendu BLANCHE NEIGE ET LE CHASSEUR), et que la réalisation sera assurée par Justin Kurzel, l’Australien qui l’an passé a marqué son monde avec LES CRIMES DE SNOWTOWN. Autant dire que nous sommes désormais tout impatients d’en savoir plus sur la chose, dont on ne connaît pas encore le planning de production.

Dans « Un traître à notre goût », John Le Carré suit deux vacanciers anglais qui se retrouvent embrigadés dans les sales affaires d’un blanchisseur d’argent russe, et le cul entre deux chaises entre la Mafia russe et les services secrets anglais. On vous met ci-après le pitch officiel du roman, tel que livré par l’éditeur français, Seuil : « Pour Perry, fort sérieux enseignant d’Oxford et Gail, prometteuse avocate londonienne, ces vacances dans une île caribéenne sont un rêve. Paysage idyllique et compagnons de séjour plutôt pittoresques, tel Dima, un milliardaire russe fantasque et truculent qui arbore une Rolex incrustée de diamants et un tatouage sur le pouce droit. Mais Dima n’est pas un simple extravagant. Il va entraîner ce roman tragique et captivant du Goulag à Antigua, de Roland-Garros jusqu’à une cachette au fond des Alpes suisses, en passant par les salles feutrées de la City de Londres, où règnent, avec la connivence des services secrets britanniques, la cupidité et la corruption. »

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