J.J. Abrams a refusé la réalisation de STAR WARS EPISODE VII

Alors qu’on la lui avait proposée, le cinéaste a décidé de passer outre, par fidélité envers STAR TREK…

La chose est assez ironique : alors que J.J. Abrams est un fan inconditionnel de la saga STAR WARS et qu’il s’est toujours défini comme peu fan à la base de STAR TREK, il confirme ces jours-ci avoir reçu une offre de Disney et Lucasfilm pour diriger STAR WARS EPISODE VII, qu’il a refusée par fidélité envers STAR TREK. Le réalisateur avait déjà dit qu’il ne souhaitait pas réaliser EPISODE VII, mais il révèle cette fois qu’on lui avait bel et bien offert le projet.

Il fait cette révélation dans le nouveau numéro du magazine anglais Empire : « Il y a eu des discussions (entre lui et Lucasfilms, ndlr) et j’ai rapidement dit qu’en raison de ma loyauté envers STAR TREK, mais aussi qu’en raison de mon statut de fan (de STAR WARS, ndlr), je ne voulais pas être impliqué dans la nouvelle version de la franchise. J’ai très tôt décliné toute forme d’implication. Je préfère largement être dans le public, n’en connaissant rien, plutôt que d’être impliqué dans la minutie que leur confection va nécessiter. (…) Je suis un énorme fan de STAR WARS, de L’EMPIRE et du RETOUR DU JEDI, et l’idée de voir cet univers pérennisé m’excite. Cela va être formidable. Kathy Kennedy est une amie et il n’y a pas producteur plus malin qu’elle. La franchise est entre de bonnes mains. »

Notons que J.J. Abrams se dit fan de la première trilogie et pas de la prélogie… Quoi qu’il en soit, cela met définitivement un terme à la rumeur STAR WARS pour Abrams. Très tôt, la presse américaine avait révélé que Disney avait envoyé le traitement écrit par Michael Arndt à Steven Spielberg, Brad Bird et J.J. Abrams. Les trois se sont publiquement et officiellement déclarés hors course. Désormais, il n’y a plus qu’à attendre qu’un nom de réalisateur soit officiellement annoncé. Selon la rumeur, l’identité de l’heureux élu pourrait être dévoilée courant janvier. Pour le moment, Matthew Vaughn reste le favori puisqu’il est l’un des rares noms à avoir été cité qui ne s’est jamais exprimé sur le sujet. Et comme le dit le dicton populaire : « Qui ne dit mot, consent ».