Trailer pour BYZANTIUM de Neil Jordan

02-02-2013 - 09:06 - Par

Dix-neuf ans après ENTRETIEN AVEC UN VAMPIRE, le réalisateur irlandais revient aux suceurs de sang. Première bande-annonce.

On vous a souvent parlé de BYZANTIUM en ces pages, notamment en relayant diverses set pics (ici et ici), diverses photos du film (ici, ici, et ici) ou encore un poster promo ou un extrait. Il faut dire que la chose est dirigée par Neil Jordan, cinéaste dont on a admiré les premiers films (LA COMPAGNIE DES LOUPS ou THE CRYING GAME) et qui avait signé en 1994 l’un des meilleurs films de vampires contemporains, ENTRETIEN AVEC UN VAMPIRE. Il revient à la charge sur les suceurs de sang avec ce nouveau projet, présenté au dernier festival de Toronto. Bien qu’il n’y ait pas reçu de critiques élogieuses, on continue d’être impatient de le découvrir, en raison du CV de Jordan, et du casting qu’il a ici réuni : Saoirse Ronan, Gemma Arterton, Caleb Landry Jones, Jonny Lee Miller et Sam Riley. Mais malheureusement, le film ne dispose toujours pas de date de sortie en France. Revoici le pitch :

« Eleanor (Saoirse Ronan) et Clara (Gemma Arterton), deux mystérieuses jeunes femmes, fuient la scène d’un crime violent. Fauchées, elles tentent de trouver de l’argent, tout en se refugiant dans un complexe hôtelier du bord de mer. Clara, pragmatique, vend son corps. Elle rencontre bientôt le timide et solitaire Noel, qui lui offre un toit dans sa maison d’hôte nommée Byzantium. Clara transforme les lieux en bordel. Pendant ce temps, Eleanor rencontre Frank (Caleb Landry Jones), qui va la pousser à dire la vérité sur son identité et son existence. Elle lui raconte alors qu’elle est née en 1804 et que Clara est en fait sa mère. Elle lui explique ce paradoxe (elle n’a que 16 ans) en lui confessant que pour rester en vie, elle doit boire du sang humain, tout comme sa mère. Dans la petite ville, des gens se mettent à mourir. Le passé des deux jeunes femmes les rattrape alors, avec des conséquences ahurissantes. »

Ci-dessous, découvrez le premier trailer, un poil trop grandiloquent à notre goût, mais qui affiche quelques jolies images, et une Gemma Arterton toujours des plus sexy quand elle est filmée par un bon cinéaste. En revanche, pas sûr que l’on goûte le côté « vampires en flonflon » de certaines des scènes…

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