James Cameron en dit un peu plus sur les suites d’AVATAR

Après avoir confirmé que les prochains AVATARS se tourneront en Nouvelle-Zélande, le réalisateur a expliqué plus avant ce que l’on pouvait attendre de la trilogie à venir.

Après le succès plus que phénoménal d’AVATAR ont suivi des années d’atermoiements sur le planning de production d’AVATAR 2. Et sur le nombre de suites que Cameron lancerait. Il fut ainsi un temps annoncé qu’AVATAR 4 serait un prequel. Mais au final, la situation s’est clarifiée ces derniers mois avec l’annonce de trois suites, tournées les unes à la suite des autres, et dont les dates de sortie ont été fixées pour décembre 2016, décembre 2017 et décembre 2018. Lors d’une conférence de presse qui s’est tenue lundi, James Cameron a confirmé que les suites d’AVATAR se tourneraient bien en Nouvelle-Zélande – ce que l’on savait déjà plus ou moins. Mais il n’a en revanche fait aucune mention de prises de vues en Chine – la possibilité avait été maintes fois citée par le passé.

Surtout, dans une interview avec AP, le cinéaste en a dit un peu plus sur ce que le public pouvait attendre de ces trois prochains volets. Il a notamment balayé les rumeurs selon lesquelles AVATAR 2 se déroulerait sous l’eau : « Il y aura des séquences sous l’eau, mais il a été dit à tort que le deuxième film se situerait entièrement sous l’eau. Ce n’est pas vrai. Il y a aura des scènes sous-marines et sur la mer qui auront à faire avec une culture indigène et seront disséminées sur les trois films. » Quant au récit, Cameron a de l’ambition puisqu’il compare ces prochains films à l’une des sagas les plus respectées de tous les temps : « AVATAR était très centré sur Jake. On racontait l’histoire depuis son point de vue. [Les prochains films] se penchent sur sa famille, la famille qu’il a créée sur Pandora. Sa famille étendue. Imaginez cela un peu comme une saga familiale comme LE PARRAIN. »

Et James Cameron étant James Cameron, il ne pouvait pas ne pas teaser le côté technologique des prochains films – le premier étant été une vitrine de luxe pour la performance capture, le Volume et la 3D. Le tout pour servir une esthétique nouvelle : « Il y aura une toute nouvelle imagerie et beaucoup de nouveaux environnements, de nouvelles créatures. Au début je pensais délocaliser le récit dans d’autres mondes du même système solaire, en plus de le situer sur Pandora. Mais au final, j’ai compris que cela n’était pas nécessaire. La Pandora que nous avons imaginée sera un monde fantastique qui va occuper l’esprit des gens pour des décennies. » Carrément. Voilà des propos qui devraient encore un peu plus inspirer les créateurs de SOUTH PARK, qui aiment à parodier le côté bigger than life du cinéaste. Cf ci-dessous.