Forcément émouvante, cette suite de BLACK PANTHER déçoit pourtant, par son utilisation outrancière du numérique et certains enjeux déjà vus.
Résultats de votre rechercheBLACK PANTHER – WAKANDA FOREVER : chronique08-11-2022 - 21:34 -
Forcément émouvante, cette suite de BLACK PANTHER déçoit pourtant, par son utilisation outrancière du numérique et certains enjeux déjà vus. HIS HOUSE : chronique30-10-2020 - 09:45 -
Un premier film audacieux par un jeune metteur en scène dont l’univers semble aussi singulier que prometteur. THE VAST OF NIGHT : chronique04-07-2020 - 16:49 -
Sorti de nulle part, un premier film aux inspirations écrasantes qui parvient pourtant, par sa mise en scène, à impressionner. BIRDS OF PREY : chronique04-02-2020 - 20:05 -
Consacré à Harley Quinn, ce spin-off de SUICIDE SQUAD capitalise sur son féminisme mais exploite mal ses héroïnes. Seule Mary Elizabeth Winstead s’en sort bien. GET OUT : chronique24-04-2017 - 21:46 -
Habile et furieusement malin, Jordan Peele ressuscite le cinéma parano 70’s avec une histoire tordue sur fond de racisme. Une véritable thérapie de choc, flippante et hilarante, qui regarde les démons de l’Amérique en face. Du grand cinéma façon série B, politique et cathartique. Anthologie Danny Boyle : Partie 123-02-2017 - 11:23 -
À l’occasion de la sortie de T2 – TRAINSPOTTING, nous revenons sur la carrière de Danny Boyle, film par film. L’occasion de décortiquer une carrière protéiforme mais d’une cohérence stylistique et thématique incroyable. Dans cette première partie, nous allons de 1994 à 2002, de PETITS MEURTRES ENTRE AMIS à 28 JOURS PLUS TARD. PATERSON : chronique20-12-2016 - 17:46 -
Loin de l’amertume de ONLY LOVERS LEFT ALIVE, une exaltation de l’ordinaire décalée, douce et bouleversante. Peut-on tout remaker ?28-09-2016 - 13:59 -
Réticente à parier sur des idées originales et audacieuses, Hollywood est la cible de virulentes attaques lui reprochant de ne plus rien inventer et de se contenter de recycler ce qui a déjà fait ses preuves. C’est vrai, l’offre et la diversité des films de studios tendent à se réduire. Pour autant, l’époque cinématographique vit une phase intéressante d’auto-analyse et d’exorcisme. Pourquoi refuser au cinéma ce que d’autres domaines ont élevé au rang d’art ? |
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