Susan Sarandon et Jim Broadbent au générique de CLOUD ATLAS ?
Toujours en quête d’acheteurs internationaux, Lana Wachowski, Tom Tykwer et Andy Wachowski sont à Cannes pour lever des fonds. Alors, on parle beaucoup de CLOUD ATLAS.
Le quotidien Screen Daily (via The Playlist) rapporte que Susan Sarandon et Jim Broadbent seraient en négociations pour rejoindre la distribution de CLOUD ATLAS, que les Wachowski et le réal’ allemand Tom Tykwer codirigeront ces prochains mois.
Broadbent pourrait être le remplaçant de Ian McKellen, un temps pressenti mais trop occupé dorénavant à honorer son contrat sur THE HOBBIT.
S’ils signent, Sarandon et Broadbent rejoindraient Hugo Weaving, Tom Hanks, Halle Berry et Ben Whishaw au casting et éventuellement Natalie Portman, qui semblerait toujours impliquée dans le film mais pour un rôle mineur.
Alexander Von Dulmen, qui coproduit le film avec sa boîte A Company, a décrit CLOUD ATLAS ainsi : « Ce projet a tout : de la fantasy, de l’aventure, de la science-fiction, ce qui devrait vraiment plaire aux publics de l’Europe de l’Est (allez comprendre ce que ça veut dire, ndlr). Mais il y a aussi une belle aventure à raconter. Si nous parvenons à le financer, cela pourrait montrer à quel point des films brillants peuvent être encore produits et qu’il y a un réel marché pour eux ».
Et comme souvent, nous remettons le pitch du roman, pour une piqûre de rappel en bonne et due forme : « Adam Ewing est un homme de loi américain, embarqué à bord d’une goélette partie de Nouvelle-Zélande et faisant route vers San Francisco, sa ville natale. Il n’a rien à voir avec Robert Frobisher, lequel, un siècle plus tard, se met au service d’un compositeur génial pour échapper à ses créanciers. Ni l’un ni l’autre ne peuvent connaître Luisa Rey, une journaliste d’investigation sur la piste d’un complot nucléaire, dans la Californie des années 70. Ou Sonmi~451, un clone condamné à mort par un État situé dans le futur. Pourtant, si l’espace et le temps les séparent, tous ces êtres participent d’un destin commun, dont la signification se révèle peu à peu. Chaque vie est l’écho d’une autre et revient sans cesse, telle une phrase musicale qui se répéterait au fil d’innombrables variations. »
