Anthony Mackie en négo pour PAIN & GAIN de Michael Bay

23-02-2012 - 17:56 - Par

Voilà une nouvelle qui fait notre journée. Dieu bénisse Michael Bay.

Disons-le franchement : par ici, on a hâte que Anthony Mackie devienne une superstar. Le bonhomme, qu’on a vu balader son talent insolent, son charisme et sa belle gueule dans MILLION DOLLAR BABY, HALF NELSON ou DÉMINEURS, fait partie de cette longue liste de jeunes comédiens qu’on aimerait voir prendre le contrôle d’Hollywood. Car il avait même réussi à être bon dans L’AGENCE. C’est dire. Les casting directors semblent nous entendre car en 2012, Mackie sera dans deux films radicalement opposés, et qu’on attend avec autant d’impatience que de curiosité : ABRAHAM LINCOLN CHASSEUR DE VAMPIRES et GANGSTER SQUAD. Sans compter le plus confidentiel TEN YEAR avec Channing Tatum.

Mais voilà t-y pas que Variety nous apprend qu’en sus, Mackie est actuellement en négo pour rejoindre Mark Wahlberg, Dwayne Johnson, Ed Harris et Rob Corddry dans PAIN & GAIN de Michael Bay, dont le tournage doit débuter ce printemps. On vous rappelle que ce film à petit budget, dans lequel Bay n’aura pas de scène d’action à filmer (ben ouais), nous contera une histoire vraie. Celle de deux bodybuilders (Wahlberg et Johnson) qui se lancent dans une vie de criminels. Jusqu’à ce qu’ils kidnappent et laissent pour mort un businessman (qui, selon la rumeur, pourrait être interprété par John Turturro), et que ce dernier engage un détective privé (Ed Harris) pour se venger. Rob Corddry campera le patron d’une salle de gym où le personnage de Wahlberg a ses habitudes. Quant à Anthony Mackie, il pourrait incarner un pote du duo de malfrats, qui décide de les rejoindre dans leurs méfaits.

Désormais, on n’a plus qu’à croiser les doigts pour que les négociations aboutissent. Car honnêtement, qui n’aurait pas envie de voir PAIN & GAIN, avec un tel casting sur la ligne de départ ? D’autant que Bay, dans toute son humilité, a toujours déclaré vouloir faire là son PULP FICTION. Et franchement, on se dit que le talent visuel du bonhomme pourrait très bien servir un opus à l’ampleur plus intime que ses blockbusters.

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