LOBO avec Dwayne Johnson ?

23-05-2012 - 11:47 - Par

Sans affirmer que nous sommes prophètes, il n’est pas impossible qu’on puisse vous rétorquer « on vous l’avait dit ».

Dans notre précédent article sur LOBO datant du mois dernier, nous étions d’abord satisfaits d’apprendre la relance du projet chez Warner Bros, pour finalement se retrouver des plus sceptiques sur la personne engagée pour transposer sur pellicule l’antihéros de DC Comics. Il faut dire qu’avec Brad Peyton (yesman sur VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE 2), il y a de quoi faire débander un âne. Tout cela pour en venir à notre déception nous ayant conduit à espérer publiquement sans trop y croire que Dwayne Johnson intégrerait LOBO en guise de lot de consolation. Et bien vous savez quoi ? Il se pourrait que cela soit le cas !

Tout est parti d’un tweet de sollicitation d’un admirateur anonyme (juré c’est pas nous !) espérant voir la carrure du « Rock » servir à l’un des super-héros issus du catalogue DC. Ce à quoi l’intéressé a répondu par un énigmatique « C’est drôle que tu dises ça… » (« Funny U say That… » dans le texte originel). S’ensuit logiquement une interrogation commune conduisant aux supputations qui s’imposent : en accord avec la Warner et les producteurs Joel Silver et Akiva Goldsman, Peyton pourrait avoir fait une offre à son acteur principal de VOYAGE AU CENTRE DE LA TERRE 2.

Inutile de perdre notre temps à arguer que Dwayne Johnson est physiquement taillé pour le rôle ou d’autres évidences du même gabarit, on préfère sagement attendre un communiqué officiel de la chose (ou un démenti en bonne et due forme histoire d’être fixé), qui redonnerait un peu d’espoir après ce mauvais (nouveau) départ. Car avec un tel choix de réalisateur, LOBO semble vraiment tout faire pour se détourner du ton irrévérencieux de la bande dessinée originelle se distinguant par sa violence et son humour noir qui, dans l’idée, équivaudrait à une classification R en salles. Soit tout le contraire de ce qu’on peut décemment attendre d’un film avec quelqu’un comme Brad Peyton aux commandes, le bonhomme s’étant illustré uniquement avec un produit familial, consensuel et sans saveur.

Source : Bleeding Cool via Collider

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