Première photo du WIKILEAKS PROJECT de DreamWorks, rebaptisé THE FIFTH ESTATE
Benedict Cumberbatch est Julian Assange. Et ça se voit.
On ne vous en parlait qu’en terme de casting, mais aujourd’hui, on peut enfin vous montrer une photo : accompagnée d’un communiqué de presse, elle est tombée hier, inaugurant le tournage. Et donc nous avons enfin un vrai titre (WIKILEAKS PROJECT n’était que du work in progress) : THE FIFTH ESTATE.
Le communiqué de DreamWorks explique que « les prises de vue ont démarré » et qu’à la distribution, ont signé, autour de Benedict Cumberbatch, Daniel Brühl, Laura Linney, Alicia Vikander et Carice van Houten (déjà annoncés) mais aussi Anthony Mackie, David Thewlis, Peter Capaldi et Dan Stevens.
Il y a même déjà une date de sortie américaine : le 15 novembre 2013. En France, on ignore quand il atteindra nos écrans ni même qui va sortir le long-métrage (les deals de distribution de DreamWorks sont relativement obscurs) – peut-être Disney.
« THE FIFTH ESTATE retrace les jeunes heures de Wikileaks, culminant avec la publication d’une série d’informations controversées. Le succès soudain du site apporta la gloire à ses fondateurs et transforma la transmission de l’information dans les médias, mais aussi le monde. » Voilà pour le pitch officiel.
THE FIFTH ESTATE est coproduit par Participant Media, comme le récent LINCOLN de Spielberg. Il est aussi confirmé que c’est bien Bill Condon (DREAMGIRLS) qui réalise le film. Confirmé aussi que le scénario, écrit par Josh Singer, est une adaptation de deux ouvrages : « Inside WikiLeaks: My Time With Julian Assange At The World’s Most Dangerous Website » de Domcheit-Berg et « WikiLeaks: Inside Julian Assange’s War On Secrecy », de David Leigh et Luke Harding.
Dans le communiqué, Bill Condon explique : « Cela pourrait prendre des décennies pour comprendre pleinement l’impact de Wikileaks et comment il a révolutionné la manière dont l’information se répand. Ainsi, le film n’entend pas avoir un avis définitif sur le sujet. Nous voulons explorer les complexités et les défis de la transparence à l’ère de l’information et nous espérons perpétuer et enrichir les conversations que Wikileaks a déjà provoquées ».
