Bradley Cooper accélère la production d’AMERICAN SNIPER

09-02-2013 - 08:53 - Par

L’acteur, de plus en plus courtisé, songerait à mettre AMERICAN SNIPER, projet connu depuis l’an dernier, au sommet de ses priorités.

Ces temps-ci, grâce à ses prestations plus que remarquables dans HAPPINESS THERAPY et THE PLACE BEYOND THE PINES, Bradley Cooper se voit courtisé de toutes parts. On vous parle ici de quasiment tous ses projets. Ces dernières semaines, on vous parlait ainsi de THE MAN FROM PRIMROSE LANE ou du thriller historique DARK INVASION. Et ce, alors qu’il s’apprête à tourner l’ex-AMERICAN BULLSHIT de David O. Russell, dont on vous a également souvent parlé.

L’an dernier, il était attaché à AMERICAN SNIPER, inspiré du livre « American Sniper : The Autobiography of the Most Lethal Sniper in U.S. Military History » et de la vie de Chris Kyle. Un ex Navy Seal né en 1973 qui clamait avoir abattu 255 personnes durant sa carrière, même si l’armée ne lui en reconnaît « que » 160. Kyle est décédé au tout début du mois de février, abattu par un vétéran que l’on dit atteint d’un syndrome post-traumatique. Raison pour laquelle Bradley Cooper songerait à accélérer la mise en chantier du film.

Cooper a lui-même acheté les droits du livre de Chris Kyle l’an passé, faisant de AMERICAN SNIPER un projet de sa boîte de production 22 & Indiana Pictures. Il devrait évidemment incarner Kyle dans le film, qui ne dispose encore ni de réalisateur, ni de planning de production. La rumeur voudrait toutefois que David O. Russell puisse s’en charger… tandis que l’écriture du script est assurée par Jason Dean Hall (PARANOIA).

Dans une interview avec NPR (via Entertainment Weekly), Cooper dit : « Nous allons nous réunir et discuter de ce que nous pouvons faire pour la famille de Kyle, et de comment on peut accélérer le processus de production, afin de vraiment faire ce film. Son histoire doit être racontée, car elle est pertinente à différents points de vue : sur le sujet du contrôle des armes et sur le problème du syndrome post-traumatique. La médecine a progressé au point que des soldats reviennent du front et sont réincorporés dans la société. Mais si nous ne nous intéressons pas à leur état mental autant qu’à leur état physique, cela risque de poser problème. »

Pub
 
 

Les commentaires sont fermés.