Première image de Robert Pattinson dans le COSMOPOLIS de David Cronenberg

27-05-2011 - 09:40 - Par

Photographié sur le plateau du film par la fille du cinéaste, Caitlin, le héros de TWILIGHT se rachète une nouvelle carrière dans cette adaptation du roman de Don DeLillo.

Alors que l’on attend toujours de découvrir A DANGEROUS METHOD, exploration des relations entre Carl Jung et Sigmund Freud (incarnés par Michael Fassbender et Viggo Mortensen), David Cronenberg est déjà passé à autre chose : COSMOPOLIS, adaptation du roman de Don DeLillo. Un film pour lequel il avait au départ engagé Colin Farrell et Marion Cotillard, tous deux partis depuis vers d’autres cieux. Le premier a été remplacé par Robert Pattinson, qui devrait là obtenir un peu plus de respect et de crédibilité, en yuppie perdant sa fortune et son épouse l’espace d’une journée… Le reste du casting comprend des noms aussi variés que Juliette Binoche, Mathieu Amalric, Jay Baruchel, Paul Giamatti, Kevin Durand ou Sarah Gadon. La première photo du film est tombée sur le Twitter de Caitlin Cronenberg, fille de papa, et photographe de son état.

Pour rappel, voici le synopsis officiel du roman de DeLillo tel que livré par l’éditeur français de la version poche, J’ai Lu : « Une journée dans la vie d’un homme d’affaires, celle de Eric Michael Packer, un yuppie, jeune premier dans la réussite, parti d’une petite start-up, parvenu en haut de l’échelle. Comme dans une boîte à musique renfermant une entière partition, Don Delillo a concentré en quelques heures l’existence d’un homme et, au-delà de sa marionnette, un monde cosmopolite, vibrant aux rythmes des frénésies new-yorkaises. Cosmopolis est d’abord une œuvre sur la réussite entrepreneuriale, sur l’univers de la finance brossé au scalpel. Où se mêlent les limousines blindées, les bureaux gavant les buildings, les tours de banques, les appareils de régulation d’air, les agents de sécurité et les gardes du corps, les meurtres, les directeurs financiers en short de jogging et débardeur, les « lueurs du cybercapital », des hommes et des femmes les yeux rivés sur des écrans de contrôle, des rencontres amoureuses furtives, des relations sexuelles non moins furtives, des échanges courts et secs, des adeptes de rave party croisant des smurfeurs. » Si ça ne nous donne pas du grand Cronenberg ça…

Pub
 
 

Les commentaires sont fermés.