The Social Network : premier poster

David Fincher souhaite vous ajouter comme ami, via son prochain opus, THE SOCIAL NETWORK, qui conte comment est né Facebook.

Au départ, il y avait « The Accidental Billionaires : The Founding of Facebook, a tale of sex, money, genius and betrayal » (publié en France sous le titre « La revanche d’un solitaire – La véritable histoire du fondateur de Facebook »), livre écrit par Ben Mezrich. Il y conte l’aventure Facebook, ou comment Marc Zuckerberg, brillant étudiant à Harvard, mais à la vie sociale foncièrement pourrie (en gros, ni fête ni sexe pour lui), décide de créer au sein de sa fac un site internet destiné à noter le physique des filles du campus. Classe. Une belle goujaterie, certes, mais qui donnera naissance en 2004 à Facebook, qu’il développe avec son pote Eduardo Saverin. Un réseau social que nous utilisons tous, ou presque, et qui a fait de Zuckerberg un milliardaire légèrement flippant. Aujourd’hui, Zuckerberg et Saverin ne s’adressent plus la parole…

Puis, de ce livre loué par la presse, naquit un scénario de 162 pages (oui, 162, soit potentiellement un film de 2h40) écrit par le grand Aaron Sorkin (créateur des séries SPORTS NIGHT, A LA MAISON BLANCHE et STUDIO 60), roi des dialogues et des ambiances bavardes passionnantes. Un script porté à l’écran par le non moins grand David Fincher, et que l’on espère voir en salles en France le 13 octobre prochain. Au générique ? Une belle brochette de jeunes acteurs passionnants : Jesse Eisenberg (ZOMBIELAND) en Mark Zuckerberg, Andrew Garfield (RED RIDING TRILOGY) en Eduardo Saverin, Joseph Mazzello (JURASSIC PARK, THE PACIFIC) en Dustin Moskowitz (un autre co-fondateur de Facebook) et Justin Timberlake en Sean Parker, co-fondateur de Napster et président de Facebook Inc.

Alors qu’aucun trailer n’a encore pointé le bout de son nez, Sony révèle aujourd’hui le premier poster de THE SOCIAL NETWORK, qui, tout en utilisant une partie des visuels du réseau social, propose une tagline « in the face » qui en dit long sur l’ambiance supposée du film : « Vous ne vous faites pas 500 millions d’amis sans vous faire quelques ennemis ». On aime.