Benedict Cumberbatch et Bret McKenzie s’expriment sur THE HOBBIT
22-11-2011 - 08:23 -
L’un y campera Smaug le Dragon, tandis que l’autre sera un Elfe. Les deux font le point sur leur rôle respectif, avec autant de professionnalisme que d’humour.
Dans une interview avec le site Collider, voilà ce qu’il a à dire sur la préparation qu’il a suivie : « Ce sera un rôle physique, ce à quoi je ne suis pas étranger, car j’ai fait FRANKENSTEIN au début de l’année pour Danny Boyle au National Theater. Je jouais la créature (en alternance avec Jonny Lee Miller, ndlr) et cela a été une expérience très physique. Je suis impatient (de tourner THE HOBBIT, ndlr), mais nous n’avons pas encore discuté du rôle car ils ont d’abord tourné le premier film du diptyque et de mon côté, j’ai tourné la saison 2 de SHERLOCK, puis la mini-série HBO PARADE’S END avec Tom Stoppard et Rebecca Hall. Mais d’ici un mois, j’irai en Nouvelle-Zélande et on pourra parler du rôle (avec Peter Jackson, ndlr). J’ai quand même débuté la préparation en effectuant divers exercices de mouvements, histoire d’être prêt à passer le costume de performance capture. Je suis très excité ». Voilà qui devrait en tout cas changer Cumberbatch de ses récentes performances en live action. Smaug ne pourra que bénéficier d’être campé par un tel acteur, notamment en raison de sa voix de stantor.
« J’ai encore un petit rôle, dit McKenzie, j’ai tourné environ deux jours, mais c’était cool de revêtir de nouveau mes oreilles pointues. C’est en 3D alors elles seront ultra-pointues. Vous pourrez même toucher les oreilles. J’ai l’air d’avoir 12 ans. Je ressemble presque à une fille. Une fille super sexy. Et puis cette fois, mon personnage a un nom : Lindir. Dans le bouquin il est un elfe musicien. Si cette fois mon rôle est conservé au montage, je parlerai en elfique. Mais je ne chante pas. Ils ne m’ont pas demandé d’écrire le thème du film. Pourtant, Ian McKellen est un fan de Flight of the Conchords. Lui et moi on s’est bien amusés sur le plateau et on a eu plein d’idées pour THE HOBBIT : THE MUSICAL. On le développe » Evidemment, ne prendre ses propos que moyennement au sérieux… |
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