Tom Tykwer convoite un casting fou

Pour son adaptation du roman CARTOGRAPHIE DES NUAGES, produite par les frères Wachowski, le cinéaste allemand aurait cinq stars en vue.

Jugez plutôt : Tom Hanks, Natalie Portman, Ian McKellen, Halle Berry et James McAvoy. Voilà l’ensemble de comédiens que Tom Tykwer aimerait réunir pour CARTOGRAPHIE DES NUAGES, adaptation du roman éponyme de David Mitchell (intitulé « Cloud Atlas » en VO) et publié en 2004 (en 2007 sur nos terres). Une nouvelle annoncée par Production Weekly, pour le moment non commentée par les représentants des acteurs ou du réalisateur. Gardons donc cela dans la besace « rumeur ». Pour le moment, aucun planning de production n’est prévu, et quand on connaît les plans de certains de ces acteurs, on se dit que tout ceci risque d’être un sacré casse-tête logistique.

« Cartographie… » est réputé pour être un roman inadaptable, raison pour laquelle ce projet attire la curiosité depuis qu’il a été annoncé en début 2009, alors que Tykwer faisait la promotion de son précédent film, L’ENQUÊTE. En effet, le roman de David Mitchell comporte plusieurs personnages principaux, tous d’importance égale, se déroule sur plusieurs époques, et couvre plusieurs genres.

Voici le résumé officiel du roman, tel que trouvé sur Amazon : « Adam Ewing est un homme de loi américain, embarqué à bord d’une goélette partie de Nouvelle-Zélande et faisant route vers San Francisco, sa ville natale. Il n’a rien à voir avec Robert Frobisher, lequel, un siècle plus tard, se met au service d’un compositeur génial pour échapper à ses créanciers. Ni l’un ni l’autre ne peuvent connaître Luisa Rey, une journaliste d’investigation sur la piste d’un complot nucléaire, dans la Californie des années 70. Ou Sonmi~451, un clone condamné à mort par un État situé dans le futur. Pourtant, si l’espace et le temps les séparent, tous ces êtres participent d’un destin commun, dont la signification se révèle peu à peu. Chaque vie est l’écho d’une autre et revient sans cesse, telle une phrase musicale qui se répéterait au fil d’innombrables variations. »